Quand tu demandes au maître de te montrer ce qu’il voit lorsqu’il mène une méditation de groupe :
Tu vois, j’ai un amour,
Un amour pour tous ceux que je connais.
Et tu vois, j’ai un élan,
Un élan de vie que je ne lâcherai pas.
Mais vois-tu, comme son contraire, s’éveille parfois ?
Cette imposition terrible, qui assombrit mon esprit.
Je vois l’obscurité, je vois l’ombre, je vois l’ombre.
Sais-tu comme je t’aime ?
Et il y a l’espoir que tu me sauves,
Peut-être,
De cette ombre.