Il est de ces voyages où l’on se sait partir plus chargée qu’on ne reviendra. Matériellement, c’est sûr – une valise (et des brouettes) de présents. Mais aussi, métaphoriquement : de certitudes cachées qu’il faudra accepter de briser lorsqu’elles se laisseront voir ; de questions qu’il faudra accepter d’abandonner sans réponse, lorsqu’elles reviendront se poser.
On dit que seul le changement est permanent. Qu’il n’y a de vérité que dans le doute. Que la lumière se fait visible dans l’ombre. Et qu’il faut donner pour recevoir.
Pour 2017, je nous souhaite toujours plus d’espace en nous, pour que la lumière passe. Qu’elle illumine les coeurs autour de nous, qu’à leur tour ils s’y réchauffent lorsqu’il fera froid, s’y éclairent lorsqu’il fera sombre, et y jouissent lorsque le jeu d’équilibriste s’évanouira.
Chouette de vous revoir. Il est longtemps que nous avons lu vos e-mails. Bonne rentrée! pino
Merci Deborah pour ces mots. Que l’année à venir soit donc pour toi source de légèreté. Affectueusement. Pauline
J’espere que tu vas bien
Je pense tres souvent a toi
Si tu as un moment, laisse moi un petit mot pour que l’on se capte soit par tel ou par visio.
Gros bisous ma Mercure
Je t’aime fort ma coupinette!
❤❤❤